mercredi 25 mai 2011

Bernard LENTERIC

Une réédition de "La nuit des enfants rois"édité par Calmann-Levy à l'occasion de la sortie du film.
SPSP : A NE PAS MANQUER! C'est un classique. c'est tout dire!


Né en 1944, l'auteur de "La Gagne" et de "La Nuit des enfants rois", également producteur proche de Claude Berry, est mort le 24 mars 2009

Bernard Lenteric a exercé les métiers les plus variés. Il a été, entre autres, maître nageur, vendeur de savonnettes fabriquées par les aveugles, colleur d'affiches, danseur mondain et joueur de poker. A 37 ans, il devient producteur de cinéma. Un de ses films, Le Dernier Amant romantique, remporte un grand succès.

En 1980, il écrit son premier livre : La Gagne, un roman sur les milieux du poker qu'il fréquentait assidûment. Mais c'est La nuit des enfants rois, l'histoire de sept enfants à l'intelligence hors normes détectés par un ordinateur, qui l'avait imposé en 1981 parmi les écrivains grand public. Comme son premier livre, ce dernier sera bientôt porté à l'écran.

Il avait publié en 1993 Les maîtres du pain, roman adapté en deux parties pour la télévision. Il avait aussi signé La fortune des Laufer (1996) et Vol avec effraction douce (2002), des récits rapides et visuels conduits à la manière d'un scénariste. Dans L'empereur des rats (1997), un roman entre fantastique et science-fiction, il décrivait le royaume sous-terrain des rats perturbé par l'arrivée de rats transgéniques échappés d'un laboratoire.

Cela se passe, une nuit, dans Central Park, à New York : sept adolescents sont sauvagement agressés, battus, violés. Mais ces sept-là ne sont pas comme les autres : ce sont des enfants génies. De l'horreur, ils vont tirer contre le monde une haine froide, mathématique, éternelle. Avec leur intelligence, ils volent des centaines de millions de dollars, ils accumulent les crimes parfaits. Car ces sept-là ne sont pas sept : ils sont un. Ils sont un seul esprit, une seule volonté. Celui qui l'a compris, Jimbo Farrar, lutte contre eux de toutes ses forces. A moins qu'il ne soit de leur côté... Cela, personne ne le sait. Alors, si ces sept-là n'étaient pas sept, mais huit ? S'ils étaient huit, le monde serait à eux et ce serait la nuit, la longue nuit, LA NUIT DES ENFANTS ROIS.